27 septembre 2008, un an déjà.
Ouf, un an déjà!
Et c'est comme si c'était hier. Pendant que Marie-Ève accomplissait hier son demi-marathon - Oui, vous avez raison, j'aurai dû essayer de la suivre - j'ai eu le temps de réfléchir à cette dernière année et l'impact sur nos vies respectives. Le bilan de cette première année est somme toute positif. Notre objectif de découvertes et de nouveauté est pleinement atteint: Voyage, culture et dépaysement ont permis cela. J'ai découvert un pays fascinant et riche d'histoire. J'ai redécouvert une nature brillante et verte dans un pays que je croyais pluvieux et gris. J'adore Londres. C'est ma grande ville préférée. Oxford est paisible.
Certaines tracasseries dues à l'incertitude de mon emploi et de mon visa face à la crise économique et au processus d'immigration nous ont mis à l'épreuve plus qu'on s'y attendait, me faisant parfois repenser ce choix de quitter notre milieu de vie traditionnel (famille, amis, travail, habitudes, confort). Mais tout comme un homme de grande sagesse m'a récemment répété: il ne faut pas regarder en arrière et laisser le doute s'emparer de soi. Le temps a finalement fait son oeuvre et les choses se sont placées, espérons-le.
Du côté politique et social, en découvrant le Royaume-Uni, je comprends mieux mon propre pays et la place que j'entends prendre dans celui-ci. Je n'y ai pas trouvé une société parfaite. Non, la perfection n'existe pas. J'y ai trouvé des gens, comme chez nous, qui ont des idéaux pour leurs proches, pour les gens de la communauté, pour le pays. Je pense sincèrement le Québec et le Canada ont des forces sous-estimées, mises de côtés par des débats trop souvent stériles et sans débouchés. Nos faiblesses, si elles sont bien comprises, peuvent nous aider à mieux nous comprendre et à avancer.
La vie est bonne pour nous, et j'espère pouvoir vous en redonner autant dans nos récits.
Cheers!
Christian
Et c'est comme si c'était hier. Pendant que Marie-Ève accomplissait hier son demi-marathon - Oui, vous avez raison, j'aurai dû essayer de la suivre - j'ai eu le temps de réfléchir à cette dernière année et l'impact sur nos vies respectives. Le bilan de cette première année est somme toute positif. Notre objectif de découvertes et de nouveauté est pleinement atteint: Voyage, culture et dépaysement ont permis cela. J'ai découvert un pays fascinant et riche d'histoire. J'ai redécouvert une nature brillante et verte dans un pays que je croyais pluvieux et gris. J'adore Londres. C'est ma grande ville préférée. Oxford est paisible.
Certaines tracasseries dues à l'incertitude de mon emploi et de mon visa face à la crise économique et au processus d'immigration nous ont mis à l'épreuve plus qu'on s'y attendait, me faisant parfois repenser ce choix de quitter notre milieu de vie traditionnel (famille, amis, travail, habitudes, confort). Mais tout comme un homme de grande sagesse m'a récemment répété: il ne faut pas regarder en arrière et laisser le doute s'emparer de soi. Le temps a finalement fait son oeuvre et les choses se sont placées, espérons-le.
Du côté politique et social, en découvrant le Royaume-Uni, je comprends mieux mon propre pays et la place que j'entends prendre dans celui-ci. Je n'y ai pas trouvé une société parfaite. Non, la perfection n'existe pas. J'y ai trouvé des gens, comme chez nous, qui ont des idéaux pour leurs proches, pour les gens de la communauté, pour le pays. Je pense sincèrement le Québec et le Canada ont des forces sous-estimées, mises de côtés par des débats trop souvent stériles et sans débouchés. Nos faiblesses, si elles sont bien comprises, peuvent nous aider à mieux nous comprendre et à avancer.
La vie est bonne pour nous, et j'espère pouvoir vous en redonner autant dans nos récits.
Cheers!
Christian
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